Au fond, c’est quoi notre maison de la culture ?
De quoi aura-t-elle l’air lorsque nous pourrons à nouveau pousser ses portes ?
L’important est sans doute se de demander à quoi voudrions-nous qu’elle ressemble ?
Qu’aurions-nous envie d’en faire ? d’y faire ? et comment se l’approprier ?
De quoi aura-t-elle l’air lorsque nous pourrons à nouveau pousser ses portes ?
L’important est sans doute se de demander à quoi voudrions-nous qu’elle ressemble ?
Qu’aurions-nous envie d’en faire ? d’y faire ? et comment se l’approprier ?
Y pleurer, aimer, sourire, lire et danser certainement.
Y dormir, manger, rêver et rire, aussi.
S’y plonger, s’en nourrir, s’y réfugier, pourquoi pas ?
Bref, y habiter.
L’habiter.
Y dormir, manger, rêver et rire, aussi.
S’y plonger, s’en nourrir, s’y réfugier, pourquoi pas ?
Bref, y habiter.
L’habiter.
Afin de traduire ce foisonnement, la multitude de possibles d’un projet toujours en construction et élargir le champ de l’imagination, j’ai poussé les murs, abattu les cloisons, dressé des échelles et creusé de galeries, perturbé les limites entre intérieur et extérieur, joué avec l’espace et les usages.
S’infiltrer à l’extérieur et s’aventurer vers l’intérieur.
Éclater l’espace pour s’y éclater, la faire décoller pour y planer, la cultiver pour s’en nourrir : autant de pistes qu’il vous reste à enrichir enrichir en vous plongeant et en prolongeant cette illustration.
Éclater l’espace pour s’y éclater, la faire décoller pour y planer, la cultiver pour s’en nourrir : autant de pistes qu’il vous reste à enrichir enrichir en vous plongeant et en prolongeant cette illustration.